La vie privée vue par Google Chrome

Je ne vais pas m’amuser à disséquer Google Chrome, la moitié de la blogosphere s’en occupe ce soir et vous trouverez ça demain matin. Je note un truc amusant en activant le fameux onglet dit de « navigation privée » qui va faire couler beaucoup d’encre. A l’ouverture ce message qui montre qu’on doute de rien chez Google: 

Passer en navigation privée n’a aucun effet sur les autres utilisateurs, serveurs ou logiciels. Méfiez-vous :

  • des sites Web qui collectent ou partagent des informations vous concernant ;
  • des fournisseurs d’accès Internet ou des employeurs qui conservent une trace des pages que vous visitez ;
  • des programmes indésirables qui enregistrent vos frappes en échange d’émoticônes gratuites ;
  • des agents secrets ;
  • des personnes qui se tiennent derrière vous

Je suppose qu’ils parlent des données de navigation partagées avec Doubleclick. je suppose ensuite qu’ils savent que la Loi impose désormais aux fournisseurs d’accès et aux entreprises de conserver les données de navigation. Enfin je pense qu’il veulent nous dire qu’il faut se méfier des distributeurs de spywares qu’on trouve via les liens Adwords. Du coup je me retourne pour regarder le portrait de Sergey Brin que j’ai punaisé derrière moi et je me dis qu’il est gonflé le gars !   😉

(Beau boulot quand même sur ce navigateur mais pas plus rapide que Firefox d’apres mes tests mais argh! mais où sont les flux RSS??!!)

Publicité

Skype dans les choux

Skype planté depuis ce matin. Ce serait comique si cela ne touchait pas plusieurs millions d’utilisateurs. Le plus drôle c’est que j’ai soupçonné l’équipe technique de mon entreprise d’avoir profité de l’été pour bloquer Skype sur les PC de bureau, désolé les gars…

C’est un couac énorme mais le plus curieux c’est qu’il se déroule dans l’indifférence des medias. Ce soir à 20h30 pratiquement rien sur Google News (du coup personne à contacter pour le droit de réponse … héhé) alors que les blogs mondiaux sonnent le tocsin, merci Technorati! Peut-on imaginer les lignes de France Telecom coupées pendant 24h sans couverture médiatique? Bon c’est vrai qu’aujourd’hui on s’occupe de célébrer Elvis… 

Google Analytics passe à la V2

Ca ne passionne pas tout le monde mais il faut bien causer bricolage et outillage de temps en temps. En l’occurence ceux qui se préoccupent de mesure d’audience apprécieront de savoir que Google lance la deuxieme version de son outil de mesure Google Analytics. Avinash Kaushik, consultant et spécialiste américain du sujet, présente les premières captures d’écran de la bête et commente les nouvelles caractéristiques. google_analytics_v2_dashboard.jpg

 Miracle la nouvelle version semble plutôt ergonomique et accessible. Ce n’est pas un luxe quand on connait la complexité de ces outils. J’ai eu l’occasion d’en discuter il a près d’un an avec le patron d’Omniture qui édite un des outils de mesure les plus impressionnants du marché, SiteCatalyst. A mon avis le principal frein à l’implémentation de ces outils est désormais la difficulté d’exploiter les données. Ma politique personnelle consiste à ouvrir largement l’accès à ces outils dans l’entreprise mais la complexité devient parfois contre productive. Je pense aussi que la richesse des données est telle qu’elles en deviennent souvent inutiles car inxploitables sur le plan opérationnel. Dur pour un investissement de plusieurs dizaines de milliers d’euros.

Google Analytics est rappellons-le gratuit, Google misant sur l’incitation à investir dans l’achat de mots clés sponsorisés. Le suivi des performances de ces mots clés étant le point fort d’Analytics ainsi que sa faciliter d’implémentation. Rappellons toutefois que mesurer le trafic de son site avec un outil fourni par celui qui est désormais (avec en plus le rachat de Doubleclick) la principale régie publicitaire de la planète crée une situation plutôt malsaine dont on n’a pas fini de parler.

Explorer 7 consacre le RSS et relance la bataille des moteurs de recherche

Je viens d’installer ce matin IE7: beaucoup d’innovations dans l’interface et une gestion des flux RSS semblable en tout point à celle de Firefox. A peine l’installation accomplie la petite guerre des moteurs de recherche fait irruption sur le bureau de Windows:

ie7-google.gif

 C’est une bonne chose, l’utilisateur peut conserver son moteur par défaut. L’impact sur le trafic de Live Search, le moteur de Microsoft, dépendra de ce choix…

Sinon j’aime assez la gestion des flux RSS. Comme Firefox le navigateur ie7 détecte automatiquement la présence de flux RSS sur la page et permet de les visualiser en format HTML (et non sous la forme brute XML qui effrayait les utilisateurs non initiés). Mieux, cette fonction de prévisualisation repère la présence de tags ou de mots clés dans le flux et permet de filtrer directement le contenu du flux par thèmes (voir ma capture sur le flux des Echos). Le navigateur propose ensuite de s’abonner en un clic au flux RSS . Bof bof en revanche le flux se retrouve affiché avec les favoris, un menu pas très ergonomique qui réclame 3 clics avant d’accéder à l’information.

1> Choisir le flux

 lesechos-rss-ie7.gif

2> prévisualiser et s’abonner

lesechos-rss-ie7-v2.gif

Netvibes sur News.com

C'est avec plaisir que je découvre cette interview video de tariq Krim qui présente Netvibes sur News.com. Il y explique le succès du service (4 millions de visiteurs uniques) et précise que la majorité des utilisateurs proviennent déjà des USA. Il prédit la fin du modèle publicitaire, c'est un peu culotté et excessif mais je pense qu'il vise surtout la famille des portails. Sur ce point il est vrai que le modèle de portail personnalisé à la Netvibes donne un coup de vieux aux monstres protéiformes que sont devenus les Yahoo et MSN. En dépis d'un rajeunissement à la web 2.0 pour Yahoo l'utilisateur se voit toujours imposer un empilage de services maison. Bref l'environnement est sexy mais il reste désepérément fermé. Reste que sans publicité Netvibes devra faire la preuve qu'il peut générer un chiffre d'affaire à partir des services embarqués par les utilisateurs. Nul doute que les places seront chères dans l'ecosystème…

Voir la video de l'interview sur News.com

netvibes-tariq.gif

Nokia N80, un navigateur web Ã©tonnant

nokia-n80.JPGJe m'accorde un petit intermède geek, je viens de troquer mon Sony-Ericsson p910i pour un Nokia N80, tout juste sorti sur le marché français. Puisque la prochaine étape pour la diffusion des médias en ligne se fera sur mobile je devais me mettre à niveau. Tuner radio, Wi-fi intégré, quadribande, photo 3 megapixels, que du luxe… Comme l'ont expliqué mes camarades de businessmobile.fr une des particularité de l'appareil est d'être doté de l'OS Symbian S60 3eme edition et son impressionnant navigateur web. Il permet sur un écran de mobile de conserver l'ensemble de la mise en page d'un site web et de naviguer avec le pointeur comme une souris. C'est tout bonnement stupéfiant. On peut jouer des fonctions de zoom pour afficher des pages entières et d'un simple clic on s'abonne automatiquement aux flux RSS proposés sur la page (encore plus rapide qu'avec Firefox)! Voici quelques captures pour juger du résultat:

Le web sur petit écran (cliquez sur les images)

Screenshot0020.JPG Screenshot0019.JPGScreenshot0018.JPGScreenshot0007.JPG

 Les flux RSS

Screenshot0004.JPGScreenshot0010.JPGScreenshot0011.JPG

et l'inévitable Google maps pour mobile…

Screenshot0014.JPGScreenshot0015.JPG

le test photo (ce week end au golf avec Christophe Fery, organisateur de la Convention VoIP connu pour casser ses clubs! si si!) 

 photo-golf2.JPGphoto-golf3.JPG

Quelques regrets tout de même: une ergonomie discutable vu le nombre de fonctions et le clavier pas très commode, l'autonomie plombée par le Wifi et le multimédia (sinon en usage normal ça tient 3 jours), le logiciel Lifeblog uniquement compatible avec Typepad, les 40 Mo de mémoire de base vite submergés (reste les cartes mini SD heureusement).

Netvibes enfin sur orbite

Il y a deux façon de comprendre le phénomène Web 2.0: l’aspect communautaire où l’interaction avec l’utilisateur crée de nouveaux contenus et le développement de veritables “services en ligne�, au sens propre, l’aggrégation d’applications à distance qui rendent enfin tangible la notion de bureau virtuel. Netvibes.com appartient à la deuxième catégorie après avoir longtemps été source de malentendus pour ceux qui voyait surtout la signature web 2.0 dans l’utilisation de la technologie Ajax. Netvibes.com a bénéficié au cours des derniers mois d’un buzz particulièrement favorable. L’extrême facilité de mise en oeuvre et son interface spectaculaire de simplicité ont convaincu, d’ailleurs j’en suis même si je n’ai pas encore sauté le pas pour en faire ma page d’accueil par défaut.

Netvibes.com passe ainsi dans la phase 2 de son développement grâce à l’appui d’investisseurs privés dont Pierre Chappaz, Marc Andreesen (quand Tarik Krim, un des fondateurs de Netvibes, m’a appris avoir reçu un mail de lui, j’avoue avoir un peu douté, j’avais tort), Martin Varsavsky le fondateur de FON, et le fond Index Ventures. Lisez à ce propos les motivations de Pierre Chappaz sur son blog (�pourquoi j’investis dans Netvibes“). Beaucoup s’interrogent sur le modèle économique de ce service à défaut de pouvoir en critiquer la pertinence. C’est méconnaître la puissance et le potentiel d’une page d’accueil personnalisée. La plupart des grand portails doivent leur puissance à la simple attraction de leurs services de messageries électroniques qui à elles seules apportent la plus évidente des raisons de se connecter chaque jour. Un effet de fidélisation naturel que jalouse tous les services et sites en lignes.

Bien sur Netvibes.com évolue dans un univers encombré avec My Yahoo, My Msn et My Google, les deux derniers étant d’ailleurs trés proches en matière d’ergonomie. Sa force tient à mon avis justement à son indépendance qui lui permet d’aggréger les meilleurs services sans se préoccuper de leur allégeance: Writely, Del.icio.us, Yahoo et Google Mail (même si chez moi Yahoo Mail ne semble pas fonctionner), Ical, Flickr pour les calendriers et le tout dernier Box.Net pour le stockage en ligne, un vrai coup de maître sachant que les gros portails hésitent encore à fournir ce type de service de stockage. La plupart de ces services disposent ou disposeront de version premium payante et une plate-forme comme Netvibes leur apportera un flux naturel de recrutement de clients.

Pour le reste l’aggrégation de zones marchandes ou assimilées comme le comparateur de prix Kelkoo générera un flux régulier de “leads� payants et rémunérateurs pour Netvibes. En fait ce genre de plateforme est un véritable canon à envoyer des visiteurs puisqu’elle est constituée quasi exclusivement de flux (RSS, XML) choisis par l’utilisateur ou suggérés (la place sera-t-elle payante?) par ses concepteurs. Bref avec de tels investisseurs je n’ai pas trop d’inquiétude à imaginer la monétisation de ces flux de visites, avant même d’imaginer l’introduction d’espaces publicitaires…

Au passage j’imagine que l’arrivée de Pierre Chapaz sur Netvibes laisse supposer une interaction avec son futur service d’aggrégation de news façon communautaire Wikio.fr. Une bonne opportunité pour apporter un réservoir de lecteurs captifs alors que le marché des aggrégateurs de news s’encombre chaque jour un peu plus. reste à connaître la stratégie des investisseurs: développer? Vendre au plus offrant? Pour le moment Netvibes vient titiller aussi bien Google que Yahoo en relayant certains de leurs services, une façon de se placer dans leur radar…

 netvibes-small.gif

Analyse comparée des modes d’accès aux sites internet

Alors que Google ramasse discrètement et avec indécence 5 points supplémentaires de parts de marché des moteurs de recherche, il faut se tourner vers des études plus qualitatives pour trouver du neuf.   Intitulée « Les différents types d’accès aux sites internet » une nouvelle étude de Xiti s’attache à décrypter certains comportements des internautes. Elle comporte plusieurs graphiques dont une analyse spécifique du secteur du tourisme et celui du e-commerce.  Je me permet d’en reprendre deux pour illustrer qui comportent des données de performance en pages vues par visite souvent considérée comme une des mesures de la qualité du lectorat ou de son affinité avec le site.
Un point qu’il faut relativiser à mon avis car le succès du RSS comme nouveau vecteur de trafic induit un mode de consultation des contenus très différents avec un nombre de pages « consommées » beaucoup plus réduite que dans le cas d’une navigation traditionnelle. Pourtant le choix du fil RSS peut s’interpréter comme une démarche d’abonnement et correspondre à une affinité très forte avec le site.

Analyse des modes d’accès aux sites
interet4_2.gif

Analyse spécifique pour les sites ayant effectué des investissements marketing en ligne:
interet4_4.gif

 

Pour être complet l’étude de Xiti Monitor me semble comporter une erreur ou au minimum une omission. Avec ce type d’outil on interprète souvent le trafic en « accès direct » comme le trafic généré par les bookmarks ou l’appel spontané d’une URL. En réalité pour la plupart des outils d’analyse de trafic cette catégorie « accès direct » est plutôt la poubelle statistique où se retrouve tout le trafic dont le type de provenance n’a pu être identifié. Ce qui conduit à survaloriser (avec fierté) cette audience superfidelisée qui taperaient spontanément l’URL d’un site.

 C’est vrai en partie sauf que la poubelle contient aussi, entre autres choses,  tout le trafic des flux RSS consultés via des logiciels agrégateurs. Un trafic qui n’est plus négligeable du tout et qu’il est urgent d’identifier pour en connaître les caractéristiques. A ce jour il faut utiliser les services du type Feedburner pour obtenir ce genre de données mais je sais que la plupart des services d’analyses de trafic (Xiti, CybereStat,  Weboscope, Wysistat, Hitbox) planchent sur la question.  Je ne sais pas si c’est l’effet de l’arrivée du gratuit Google Analytics mais tout ce petit monde devrait innover à tour de bras dans les prochains mois pour conserver ses clients.

(Note: ZDNet utilise Xiti mais je ne voudrais surtout pas leur mettre la pression 🙂 )

AlertInfo: du sur mesure en OPML

Le lecteur de flux RSS Alertinfo, regroupant les flux des principaux titres de presse français s’enrichit de nouveaux contenus et se dote d’un configurateur OPML. Bonne nouvelle, ça rend le bestiau plus digeste!

Suite de l’aventure d’Alertinfo, qui, je le rappelle, est une version personnalisée du logiciel Feedreader et regroupe les flux des titres de presse membre du GESTE.

C’est l’équipe technique de Pointblog.com qui a pris en charge la maintenance et l’évolution de service. Un des problèmes récurrents était de gérer les centaines de flux qui commencaient à sérieusement engorger le logiciel. On personnalise un fichier OPML avec les flux de son choix AVANT de récupérer éventuellement le logiciel. Ca permet évidemment de les importer sur un autre logiciel ou sur son portail perso.
Entre autres choses j’ai rajouté (ZDNet est membre du GESTE) les flux de notre nouveau site CNETFrance.fr

A ce propos si comme moi il vous prend l’envie d’éditer vos propres fichiers OPML vous pouvez utiliser OPML Editor un petit utilitaire très pratique et parfaitement dépourvu d’ergonomie, comme on aime 🙂

L’étape suivante : indexer son fichier OPML ou chercher celui des autres
Pour en savoir plus sur l’OPML

Google analytics : jeu, set et match !

Pourquoi s’emmerder à pêcher la truite sauvage quand on peut en faire l’élevage? Avec son nouveau service Google Analytics le géant de la recherche se prépare à remonter les filets. La petite friture est composée de milliers de sites pros et semi-pros nourris à l’AdSense en granulés. Un bel outils d’analyse de performance gratuit va permettre d’ausculter leurs entrailles. Bon appétit.

Bon résumons: vos pages sont labourées par un moteur de recherche omniscient utilisé par 80% de vos lecteurs, vos revenus proviennent de mots clés vendus aux enchères et choisis par le moteur précédent, lequel en profite pour vous coller une étiquette de ranking façon code-barre pour petits pois. Si vous vous sentez seul vous lui glissez la piécette à partir de 0,10 euros et il vous envoit du monde pour remplir la salle et vider le frigo. Franchement, à ce stade, la moindre des politesses c’est de lui permettre de vous ouvrir le bide pour le laisser vérifier la qualité de la marchandise. En plus c’est gratuit, vous allez pas vous plaindre! Normallement Google devrait assez rapidement se payer le Credit Lyonnais, histoire de vous soupeser la bourse, aussi.

google analytics

Bon je rigole, mais j’admire aussi. Google analytics ce n’est pas la révolution, ce type d’outil existe déja, mais c’est le genre d’initiative qui permet de ramasser la mise en ratissant le marché en pleine explosion des sites et services qui n’avaient pas forcément les moyens de se doter des outils de contrôle de ROI sophistiqués. Evidemment faire auditer son site par sa propre régie publicitaire ce n’est pas banal ni très orthodoxe mais ce genre de préoccupation ne concerne que les sites à trés forte audience et à la stratégie publicitaire complexe. En attendant Google crée le marché et se l’approprie pacifiquement ou presque. C’est une affaire de pisciculture où l’on contrôle le débit de l’eau, sa température et la distribution de nourriture.

Evidemment, dans le cas présent, l’utilisation des outils de mesure est une invitation puissante à utiliser AdSense comme outil d’acquisition d’audience. Le mécanisme est simple (Pierre Chappaz l’expliquait déjà au tout début de l’aventure Kelkoo) : on achète ses visiteurs en enchérissant sur les mots clés par exemple à 0,15 euros le clic et si vous êtes malin la visite sur votre site doté de ses propres pubs par mots clés peut vous rapporter 0,18 euros. La différence est pour vous. C’est simple mais finalement pas tant que ça car pour en faire un business il faut tout contrôler au millimètre car une variation sur les enchères peut vous faire prendre le bouillon. Et pour tout contrôler il faut un outil de mesure du ROI (retour sur investissement). Logiquement Google, qui fait commerce des mots clés, fini par vous l’offrir le bel outil.

A propos avez-vous remarqué que votre compte Gmail est déjà utilisé pour vous identifier comme client de AdSense et Google Analytics? Bien vu … Quant aux performances de l’outil les témoignages sont les bienvenus !

Pour les paranos : les conditions générales d’utilisation sont ici, bonne lecture.

(Note : billet publié aussi sur ZDNet.fr)

OPML: un éditeur pour décrypter ses flux RSS

Je ne sais pas si vous êtes dans le même cas mais j’ai parfois besoin d’éditer les fichiers OPML avant de les intégrer dans un lecteur de flux RSS. C’était le cas avec les flux d’Alertinfo, la version de Feedreader utilisée par les éditeurs du Geste (dont je suis). Le Geste va bientôt mettre en ligne une nouvelle version qui permet de générer un fichier OPML sur mesure. Reste que quand un fichier OPML contient plus de 300 flux RSS on préfère en vérifier le contenu avant d’engorger son lecteur…

Merci a mon équipe technique qui m’a conseillé un lecteur OPML pour ce genre d’opération. OPML Editor se récupère sur support.opml.org

OPML Editor:

Opml editor